NAIROBI, 9 mai 2024 (WAM) - L'Association de l'Union pour les droits de l'homme (UAHR) participe à la Conférence de la société civile de l'ONU 2024 à Nairobi, qui a débuté aujourd'hui au siège de l'ONU à Nairobi, au Kenya.
La Conférence offre aux organisations de la société civile l'opportunité de mettre en perspective une question spécifique et rassemble des responsables du système des Nations Unies, d'éminentes organisations de la société civile internationale, des jeunes leaders d'opinion, des universitaires, des faiseurs d'opinion publique et des médias internationaux pour débattre de questions d'intérêt mondial.
La vice-présidente de l'UAHR, Mariam Al-Ahmadi, est à la tête de la délégation de l'association et de l'équipe d'experts en droits de l'homme, représentant la société civile des Émirats arabes unis.
La conférence internationale réunit plus de 3 700 participants, représentant divers organismes et mécanismes internationaux, et plus de 400 organisations non gouvernementales internationales travaillant dans divers domaines de l'humanitaire et du développement. En outre, des représentants d'un certain nombre d'entreprises, d'institutions et d'initiatives s'intéressent à la promotion des programmes de développement humain dans le monde, à l'exploitation des technologies modernes au service de l'humanité et à la résolution des problèmes actuels et futurs.
La conférence de la société civile des Nations unies est le premier événement du calendrier de la société civile aux Nations unies, avant le sommet de l'avenir, prévu en septembre prochain.
Organisée par le département de la communication mondiale des Nations unies, la conférence de la société civile durera deux jours, les 9 et 10 mai.
Lors de l'ouverture de l'événement, Maher Nasser, directeur de la division "Outreach" du département de la communication des Nations unies, a déclaré que plus de 3 600 représentants de la société civile représentant 2 750 entités s'étaient inscrits à la conférence, ainsi qu'environ 400 représentants de 64 gouvernements, sept organisations intergouvernementales (OIG), 37 entités des Nations unies et plus d'une centaine de journalistes.
En outre, 70 % des inscrits venaient d'Afrique et 40 % de tous les inscrits étaient des jeunes, dans la tranche d'âge de 18 à 34 ans. Le climat est le principal sujet abordé par les jeunes inscrits.
Le président de l'Assemblée générale des Nations unies, Dennis Francis, s'est exprimé par message vidéo : "Pour que le sommet serve de catalyseur à une action mondiale efficace, nous avons besoin d'une collaboration solide et de l'adhésion de ceux qui sont directement concernés afin d'obtenir des résultats orientés vers l'action.
Se référant aux documents qui devraient ressortir du sommet - le Pacte pour l'avenir, le Pacte mondial pour le numérique et la Déclaration sur les générations futures - le président de l'Assemblée a déclaré : "Nous avons besoin de vous, la société civile, pour jouer un rôle essentiel dans ce processus".
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